
✨ Et si un livre pouvait encore nous faire visiter le Paris de 1906 ?Un livre sauvé, restauré, prêt à reprendre sa promenade…
📖 Une promenade à travers les siècles
Ce livre était à bout de souffle.
Le dos effondré, les plats épuisés.
Et pourtant, il tenait encore debout par ce qu’il portait : un regard.
Promenades dans Paris de Georges Cain, publié en 1906, est un hymne tranquille à la mémoire des rues, des pierres, des figures disparues.
Un Paris raconté à hauteur d’homme, avec les yeux d’un promeneur amoureux de sa ville et de son histoire.
🗼 Paris, 1906.
La Tour Eiffel a à peine 17 ans. Le métro est jeune.
Picasso arrive à Montmartre. Apollinaire écrit ses premiers vers.
Le Petit Palais n’a que 6 ans, et le Grand Palais scintille encore de l’Exposition universelle.
C’est la Belle Époque, et l’on y croit encore.
Mais Dreyfus vient à peine d’être réhabilité, Jaurès milite, les grèves grondent : le siècle nouveau s’agite sous les dorures.
Et pendant ce temps-là, ce livre est publié.
Il passe de main en main. Il accompagne, il guide, il console peut-être.
Il traverse deux guerres, des régimes, des révolutions sociales.
Il échappe à l’oubli, un peu froissé, un peu brisé.
Aujourd’hui, il est restauré.
Pas pour le figer, mais pour reprendre le cours de sa promenade.
Porter encore ce Paris disparu dans notre présent.
Offrir à nouveau ses pages à qui veut l’entendre.
📖 Une promenade à travers les siècles
Ce livre était à bout de souffle.
Le dos effondré, les plats épuisés.
Et pourtant, il tenait encore debout par ce qu’il portait : un regard.
Promenades dans Paris de Georges Cain, publié en 1906, est un hymne tranquille à la mémoire des rues, des pierres, des figures disparues.
Un Paris raconté à hauteur d’homme, avec les yeux d’un promeneur amoureux de sa ville et de son histoire.
🗼 Paris, 1906.
La Tour Eiffel a à peine 17 ans. Le métro est jeune.
Picasso arrive à Montmartre. Apollinaire écrit ses premiers vers.
Le Petit Palais n’a que 6 ans, et le Grand Palais scintille encore de l’Exposition universelle.
C’est la Belle Époque, et l’on y croit encore.
Mais Dreyfus vient à peine d’être réhabilité, Jaurès milite, les grèves grondent : le siècle nouveau s’agite sous les dorures.
Et pendant ce temps-là, ce livre est publié.
Il passe de main en main. Il accompagne, il guide, il console peut-être.
Il traverse deux guerres, des régimes, des révolutions sociales.
Il échappe à l’oubli, un peu froissé, un peu brisé.
Aujourd’hui, il est restauré.
Pas pour le figer, mais pour reprendre le cours de sa promenade.
Porter encore ce Paris disparu dans notre présent.
Offrir à nouveau ses pages à qui veut l’entendre.
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